giovedì

Storie nazionali, storia europea

Les dangers d’une histoire « douce » de l’Europe
Jean-Frédéric Schaub, de l’Ecole des hautes études en sciences sociales
EXTRAIT: L’histoire européenne des Européens, telle que nous souhaitons désormais l’écrire et l’enseigner, tourne le dos au modèle des histoires nationales qui nous a formés. Nous ne nous satisfaisons ni de la juxtaposition éditoriale d’histoires nationales dans des dispositifs mêmes judicieux, ni de la projection à l’échelle du sous-continent des manières de faire de l’histoire nationale passée. TELECHARGER L'ARTICLE (respectant la pagination d'origine)

Une Europe sans histoire? Contribution à une réflexion sur l’histoire de l’Europe.
Georges Bischoff, historien, directeur du département d’études médiévales à l’université Marc Bloch de Strasbourg
EXTRAIT: Une histoire de l’Europe est-elle possible au regard de ce que l’Europe a été par le passé : une juxtaposition de constructions historiques étroitement liées à l’émergence et à l’affirmation des Etats nations ? Cette histoire de l’Europe est-elle souhaitable ? Cette double interrogation s’est inscrite dans le prolongement d’un séminaire qu’avait proposé, durant la présidence française du Conseil des ministres de l’Union européenne, le ministère français de l’Education nationale, à Blois les 13 et 14 octobre 2000, sur le thème «Apprendre l’histoire de l’Europe» ; c’était alors une première dans le sens ou l’Union européenne, à la différence du Conseil de l’Europe, n’avait pas souhaité, jusqu’à présent, aborder véritablement les questions qui touchent au contenu même de l’histoire et plus généralement aux programmes. TELECHARGER L'ARTICLE (respectant la pagination d'origine)

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